virli/subject/owncloud/ex-owncloud.md

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Projet

Pour mettre en pratiques toutes les notions que l'on a vu jusque là, écrivez un script mycloud-run.sh pour automatiser le lancement de votre instance personnelle de nextcloud ou d'owncloud. Une attention particulière devra être apportée à la manière dont vous gérerez le rappel du script pour éventuellement relancer un conteneur qui se serait arrêté (évidemment sans perdre les données).

À la fin de son exécution, le script affichera un lien utilisable sur l'hôte pour se rendre sur la page de connexion. Une autre machine de votre réseau local devrait également pouvoir accéder à la plate-forme, simplement en renseignant l'IP de votre machine et en ajoutant éventuellement des règles de pare-feu (mais cette dernière partie n'est pas demandée, gardez simplement en tête que cela doit pouvoir être fait manuellement au cas par cas : sur une machine sans pare-feu configurée, cela ne demande pas d'étape supplémentaire).

Votre script devra se limiter aux notions vues durant cette partie du TP (ie. sans utiliser docker-compose ou docker stack que l'on verra dans la seconde partie). Il pourra cependant faire usage des commandes docker OBJECT inspect pour ne pas avoir à faire d'analyse syntaxique sur les retours des commandes lisibles par les humains.

Cette instance devra utiliser une base de données MySQL (lancée par vos soins dans un autre conteneur) et contenir ses données dans un ou plusieurs volumes (afin qu'elles persistent à une mise à jour des conteneurs par exemple).

L'exécution doit être la plus sécurisée possible (pas de port MySQL exposé sur l'hôte par exemple, etc.) et la plus respectueuse des bonnes pratiques que l'on a pu voir durant ce premier cours.

Exemple d'exécution

```bash 42sh$ ./mycloud-run.sh http://localhost:12345/ 42sh$ #docker kill db 42sh$ ./mycloud-run.sh # le script relancera une base de données, # sans avoir perdu les données http://localhost:12345/ ```