3.6 KiB
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Compose
Avec notre conteneur utilisant supervisor
, nous ne respectons pas
bien cette dernière bonne pratique d'un seul processus par conteneur
:-(
L'intérêt est de permettre à chaque conteneur d'effectuer une tâche générique, de manière à pouvoir être réutilisé pour d'autres projets dans le futur. Par exemple, notre conteneur InfluxDB pourra être utilisé pour stocker des relevés de métriques systèmes ou des logs. Chronograf peut être connecté à d'autres serveurs afin de corréler les métriques, ...
Séparer le Dockerfile
Commençons par séparer notre Dockerfile
en deux : dans une partie
nous allons garder la partie InfluxDB, de l'autre la partie Chronograf.
Il va vous falloir créer deux dossiers distincts, il en faut un par
Dockerfile
: réutilisez l'image influxdb
créée précédemment et créez le
dossier pour l'image chronograf
.
Profitez en pour rajouter les Data Volume Container, si vous ne l'avez pas fait dans la partie précédente !
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Pour tester la bonne marche de vos conteneurs, vous pouvez le lancer votre conteneur chronograf avec la commande suivante (en considérant que votre conteneur influxdb de la première partie est toujours lancé).
docker run --rm --link YOUR_INFLUX_CNTR_NAME:influxdb chronograf
Remplacez YOUR_INFLUX_CNTR_NAME
par le nom du conteneur qui fait tourner
votre influxdb. En créant ce lien, chronograf
sera capable de contacter une
machine influxdb
(la partie après les :
).
Visualiser les données dans chronograf
Avant d'arrêter telegraf
et nos conteneurs pour passer à une nouvelle étape,
prenez le temps d'afficher les données que vous avez collecté depuis le début
du TP.
Après avoir ajouté le serveur (en remplaçant localhost
proposé par défaut par
influxdb
issue du link), ajouter deux visualisations avec les requêtes
suivantes :
SELECT used, available, cached FROM mem WHERE tmpltime()
SELECT mean(usage_idle) FROM cpu WHERE tmpltime() GROUP BY time(20s), cpu
Automatiser la construction et le lancement
Commencez par lancer tous vos conteneurs à la main pour voir les étapes que vous allez devoir automatiser.
Au lieu de faire un script pour construire et lancer tous vos
conteneurs, définissez à la racine de votre projet un fichier
docker-compose.yml
qui contiendra les méthodes de construction et
les paramètres d'exécution.
version: '2'
services:
influxdb:
...
chronograf:
build: grafana/
image: nginx
ports:
- "3000:3000"
volumes:
- ./:/tmp/toto
links:
- influxdb
Ce fichier est un condensé des options que vous passez habituellement
au docker run
.
L'exemple ci-dessus est à adapter largement, consultez http://docs.docker.com/compose/compose-file/ pour une liste exhaustive des options que vous pouvez utiliser.
Notez toutefois la présence d'une ligne version
; il ne s'agit pas de la
version de vos conteneurs, mais de la version du format de fichier
docker-compose qui sera utilisé. Sans indication de version, la version
originale sera utilisée.
Une fois que votre docker-compose.yml
sera prêt, lancez tout d'abord
docker-compose build
pour commencer la phase de build de tous les
conteneurs listés dans le fichier.
Une fois le build terminé, vous pouvez lancer la commande suivante et admirer le résultat :
docker-compose up
Encore une fois, testez la bonne connexion entre chronograf (accessible sur http://localhost:10000) et influxdb.
Rendu
Pour cette partie, vous devrez rendre la dernière itération de votre
docker-compose.yml
.