2.0 KiB
Pour chronograf, la commande suivante fonctionnerait, mais prenons exemple sur le fichier YAML d'InfluxDB pour Chronograf :
kubectl create deployment chronograf --image=chronograf -- chronograf \
--influxdb-url=http://influxdb:8086 \
--influxdb-username=chronograf \
--influxdb-password=eBoo8geingie8ziejeeg8bein6Yai1a
Notre application
TAG=0.1
for SERVICE in hasher rng worker; do
kubectl create deployment $SERVICE --image=nemunaire/$SERVICE:$TAG
done
Exposer les ports
Pour trois des applications, des ClusterIP
font l'affaire, car ils n'ont pas
besoin d'être exposés en dehors du cluster.
kubectl expose deployment influxdb --port 8086
kubectl expose deployment rng --port 80
kubectl expose deployment hasher --port 80
Si vous avez utilisé le chart Helm d'InfluxDB, Un ClusterIP
a été
automatiquement créé.
Par contre, notre Chronograf doit être exposé, on lui alloue donc un NodePort :
kubectl create service nodeport chronograf --tcp=8888 --node-port=30001
À ce stade, nous devrions pouvoir accéder à l'interface de Chronograf !
Le port 30001 est exposé par kind
(cela faisait partie des ports redirigés par
Docker entre le nœud master et votre machine !), nous devrions donc pouvoir
nous rendre sur : http://localhost:30001/ pour y voir Chronograf.
Pour afficher un graphique intéressant, on se rend dans la partie
Explore, puis on choisit la base chocominer.autogen
, puis la table hashes
et enfin on sélectionne l'élément value
. Pour être tout à fait juste, il faut
choisir la fonction summ
, car nous voulons afficher le nombre total de
condensat générés. Un second graphique intéressant est celui du nombre de
pépites trouvées : il faut compter (count
) le nombre d'éléments dans la table
chunks
.
Vous n'avez pas la même courbe de progression ? Alors continuons pour augmenter la puissance de notre rig !