Cours CMP1 du jour
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@ -0,0 +1,185 @@
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\chapter{Development Tools}
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\section{AutoTools}
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On va écrire une description du makefile que l'on veut obtenir.
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\subsection{AutoMake}
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On crée la première règle bin_PROGRAMS, puis le/les noms des programmes que
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l'on veut générer. Il s'agit d'une variable primaire.
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hello-world sera installé dans bin/ avec make install. On peut changer le
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prefix pour envoyer le fichier ailleurs.
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Automake n'est cependant pas capable de compiler le programme, il a besoin
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d'autoconf.
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\subsection{AutoConf}
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Le script configure se charge de regarder où sont les bibliothèques standard
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ainsi que le compilateur et tout et tout.
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On a la flemme d'écrire le script pour autotools ... donc : \texttt{autoscan} !
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Première chose à faire : renommer le fichier en configure.ac
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Il crée un fichier configure.scan. C'est un script shell mélangé avec du M4 (le
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\og language d'AutoConf\fg).
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\c Ca fonctionne sur le même principe que cpp, le préprocesseur.
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M4 = Macro = M + 4 lettre
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Les crochets bloquent l'extension des macros. Conseil : toujours mettre des
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crochets autour des variables.
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On retrouve des infos pour autoconf et automake.
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AC_PREREQ vérifier la version requise.
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AC_INIT : initialisation du package (nom, version, adresse de bug report)
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AC_PROG_CXX : macro qui cherche un compilateur C++, on peut préciser le
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compilateur obligatoire à utiliser (on lui passe en argument de
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\texttt{./configure CXX=g++}) et il vérifie que le compilateur fonctionne (il
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compile un petit code pour voir :p)
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Si le compilateur fonctionne pas par exemple, il dira ce qui va pas, plus de
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détails sont dispo dans le fichier config.log (énormément !)
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AC_CONFIG_FILES : fichiers à générer, typiquement des Makefiles !
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Il prend des fichiers en .in et il génére des fichiers dont le nom est écrit
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dans la variable : Makefile.in => Makefile ; c'est donc le script configure qui
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transforme le .in en véritable fichier.
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C'est à ce moment là qu'il précise les variables genre CXX, ...
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AC_OUTPUT déclenche la génération de tout ce qu'on a prévu jusque là.
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Pour le moment, il nous manque donc les .in ; c'est automake qui va les générer
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à partir des .am :)
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Et puis, on va appeler autoconf pour générer le configure
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Pour dire à autoconf qu'on veut utiliser automake, on va ajouter une macro :
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AM_INIT_AUTOMAKE()
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On va ajouter deux arguments : foreign pour dire qu'on veut pas les contraintes
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d'un projet GNU et 1.11 pour la version minimale d'automake
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Bon en fait on va utiliser \texttt{aclocal} :p
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C'est pour préparer autoconf : pour récupérer les macros que l'on va utiliser
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dans les fichiers.
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Le but de M4 est de faciliter la maintenance, c'est plein de bouts de script
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shell qui sont concaténé.
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Allé hop, \texttt{automake} !
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Hmmm ... il a besoin de certain script
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\begin{itemize}
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\item \textbf{depcomp~:} comment le compilateur gère les dépendances
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(makedepend outdated : il regarde les fichiers dans tous les répertoires et
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calcul les dépendances pour chaque fichier et il génère un bout de makefile
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qui est à inclure. Mais c'est chiant, c'est pas automatisé, ...)~;\\
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La première fois qu'on compile, le compilateur se balade et détecte les
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dépendances entre les .h et les .c (avec des options louches -MT -MD) il
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inscrit les dépendances dans un fichier et c'est automatisé ! depcomp teste
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donc le compilateur pour déterminer les options à utiliser.
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\end{itemize}
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Pour avoir les scripts manquant on fait : \texttt{automake -ac}
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Youpla, on lance \texttt{autoconf}. Il dit rien, mais il bosse dur !
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C'est tout pour la partie mainteneur du paquet.
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\subsection{Let's play !}
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\texttt{./configure}
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Il vérifie tout un tas de truc useless : faut lire il parle beaucoup trop vite.
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Il prépare le mécanisme de dépendance et à la fin, il crée le Makefile.
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Le Makefile est composé de régles classiques et d'une multitude de variables.
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\texttt{make}
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Bon ba voilà, ça compile donc ça marche !
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Il y a plein de trucs sur la ligne de compilation : plein de \texttt{-D} qui
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définissent des constantes (du style~: \texttt{HAVE_STRNCMP} qui dit si strncmp
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a un comportement correct, quand c'est mélangé avec autoconf, ça s'utilise
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comme une constante de préprocesseur).
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Le problème de l'approche c'est qu'elle est limité : on a moins d'une dizaine
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d'options. Dans un grand projet, le compilo ou le shell peuvent dire que la
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ligne est trop longue.
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Pour ça, on peut demander à autoconf de générer un fichier config.h
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\section{Mooooaaaaarrree}
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Tips Doxygen \a dit que c'est un attribut ce qui suit.
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\subsection{Ajouter une bibliothèque}
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Nouvelle variable primaire : LIBRARIES, préfixée par le nom du répertoire où se
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sera installé.
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Idem, on prend le nom de la lib à générer (libgreet.a) qui devient le
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préfixe. Puis on ajoute les SOURCES...
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Si on fait les choses bien, \texttt{make} devrait tout régénérer si on modifie
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comme ça !
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Arg, il a pas trouvé RANLIB pour faire des lib. M'enfin, il dit qu'il faut le
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rajouter...
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Tips \texttt{nm} : on peut utiliser c++filt pour retirer le mangling :
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\texttt{nm libgreet.a | c++filt}
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\subsection{Utiliser la bibliothèque}
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Cette fois, on a une dépendance. Il ne faudra donc pas oublié de dire qu'on a
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besoin de la libgreet !
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On utilise pour ça le suffixe \texttt{LDADD}, on indique ensuite le nom de la
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lib à utiliser.
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\section{Suite de tests}
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\texttt{TESTS} : appel un ou plusieurs programmes
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Dans les machins, si on remplace le préfixe \texttt{bin} par \texttt{check}, le
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programme ainsi listé ne sera compilé que si on lance un \texttt{make check}.
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\subsection{make distcheck}
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Tarball via dist + detar ailleurs + check
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"Parallel build" : on peut se placer dans un dossier build par exemple et
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appeler ../configure. Il va alors tout compiler dans ce dossier.
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(genre, on se place dans le goinfre local pour éviter de compiler sur l'AFS)
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Moment historique, faut verser une petite larme :( Le bocal avait l'air
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compétent ... Lulz le boulot perdu car sauvé dans le goinfre effacé à 3h42 :p
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Tips pour débugger : \texttt{../configure CXXFLAGS="-O0 -g"} à faire dans un
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répertoire \texttt{build_debug}, avoir un autre répertoire \texttt{build_fast}
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avec \texttt{-O3 -DNDEBUG}, \ldots un build par architecture, \ldots
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\paragraph{C'est parti~!}
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Il trouve pas un fichier : hop on l'ajoute dans le Makefile.am :
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\texttt{EXTRA_DIST}.
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Maintenant, il ne trouve pas un fichier qui a une adresse relative ! Vu que
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distcheck est dans un répertoire \texttt{build/}.
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Il faut changer le script~: le générer (il sera donc généré dans le builddir).
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On crée donc \texttt{test-cat.in}~:
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On ajoute la variable \texttt{@srcdir@} à l'endroit où l'on veut que se soit
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remplacé.
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Dans le \texttt{configure.ac}, on ajoute un fichier à générer aux côtés du
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Makefile. Arf, mais il est pas exécutable dans ce cas. Donc, on lui dit que
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c'est exécutable en ajoute un second argument qui est une commande qui est
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exécuté après~: \texttt{[chmod +x mon-test]}
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